L’entreprise

Quel type d’entreprise créer, pourquoi faire, avec qui, pour quelle activité et pour quel style de vie.

Si je commence cet article par ces questions c’est tout simplement parce que tous ceux qui ont créé ou qui souhaitent créer une entreprise se sont posés où se posent ces questions.

Donc trouver les réponses à ces questions est fondamental après avoir créé où envisager de créer une entreprise.

Aujourd’hui il est assez facile de créer une entreprise sur le plan administratif avec peu de moyen en fonction du statut que l’on choisit et ce n’est presque qu’une formalité. Donc le plus difficile est de créer une entreprise qui sera pérenne si elle atteint les objectifs « Quel type d’entreprise », « pourquoi faire », « avec qui », « quelle activité » et pour « quel style de vie ».

Quel type d’entreprise ?

 


Il existe de nombreux statuts d’entreprises et le choix que vous allez faire au départ est stratégique.

En résumé, il y a trois types de statut, l’entreprise individuelle où vous serez le maitre à bord et l’unique patron, le statut qui vous permettra d’intégrer des associés comme la SARL ou la SA (ou SAS) et la SASU qui permet de commencer seul mais qui peut à terme s’ouvrir à des associés.

Tous les statuts relèvent de l’URSSAF ou du RSI sauf la SASU qui relève du régime général de sécurité sociale si vous souhaitez vous verser un salaire.


Donc choisissez bien votre statut en fonction de votre projet d’entreprise en essayant de vous projeter dans les 5 prochaines années. Exemple, si vous envisagez de commencer seul avec le projet d’intégrer des associés et augmenter votre capital d’ici les cinq prochaines années, la SASU peut être un statut intéressant et adapté à votre entreprise.

 

 

Pourquoi faire ?


Trouver une activité à développer peut sembler simple mais c’est beaucoup plus compliqué qu’il n’y parait.

En fait, il y a plusieurs approches, soit vous reprenez une entreprise dans laquelle vous avez travaillé en tant que salarié ou héritier et dans ce cas vous avez quasiment toutes les connaissances pour pérenniser l’activité de l’entreprise avec des clients existants, soit vous créez purement et simplement une entreprise dans un domaine d’activité qui vous semble correspondre à vos aspirations et compétences.

Et c’est dans ce deuxième cas que les choses peuvent être plus compliquées.

En effet, vous pouvez être autodidacte ou diplômé et vous lancer dans la création d’entreprise dans un domaine dont vous maitriser une ou plusieurs compétences. Mais c’est à ce moment que vous allez changer de statut et de profil.

Car si avant vous étiez salarié il est important de prendre conscience qu’en devenant chef d’entreprise, même individuel, vous allez passer du statut de musicien à celui de chef d’orchestre et ce n’est pas du tout le même métier.

Il faut donc se poser les bonnes questions quant à savoir si votre personnalité, vos aptitudes et vos compétences vous permettront d’endosser ce rôle.


A partir du moment où vous devenez chef d’orchestre vous n’avez pas besoin de savoir jouer de tous les instruments.

En revanche vous devrez orchestrer plusieurs tâches dans lesquelles vous ne serez pas particulièrement à l’aise dans un premier temps et ce n’est pas grave puisqu’au début vous vous appuierez naturellement sur le domaine qui a suscité chez vous la création de l’entreprise, à savoir ; le produit ou le service et ses bienfaits ou plus-value.

Avec qui ?


Ce point est un des facteurs qui va faire que vous pourrez développer votre entreprise ou pas.

Les prestataires et partenaires


Vous pouvez tout à fait créer votre entreprise individuelle en fonction d’un métier que vous maitrisez ou que vous allez maitriser en vous formant.

Cependant, il faudra intégrer la notion de posséder « plusieurs casquettes » et vous devrez vous entourer de personnes susceptibles de réaliser des tâches qui vous permettront de vous consacrer au cœur de votre activité.

Il est donc impératif de déterminer quelles sont les tâches du cœur de votre métiers auxquelles vous pourrez vous consacrer.

En fonction de leur nombre il vous faudra lister lesquelles doivent être déléguées à des prestataires ou partenaires pour vous permettre d’avancer.

Il s’agira de prestataires comme l’expert-comptable ou sous-traitant sélectionnés en fonction de votre activité (fabricants, transporteurs, marketing, etc…) ou de partenaires qui ont un lien direct avec votre activité et avec qui vous avez développé un partenariat formel (contrat de partenariat) ou informel (sans contrat qui intervient ponctuellement) mais qui intervient régulièrement pour vous contre rémunération ou échange de service.

Les associés


Cette démarche est particulièrement sensible car il y a plusieurs types d’associés.
L’associé qui n’intervient pas dans la gestion de l’entreprise au quotidien

  • Avantages


L’associé actionnaire qui n’intervient pas dans la gestion de l’entreprise au quotidien mais seulement lors des conseils d’administration que vous devrez organiser par la suite.

Son rôle reste néanmoins important puisqu’il apporte une partie ou la totalité des fonds du capital qui vous permettra de mettre en place votre activité. Si vous voulez rester maitre à bord de votre navire, il faudra que vous apportiez au minimum 51% du capital pour rester majoritaire dans les décisions à prendre.

  • Inconvénients


Il est primordial de trouver un ou des actionnaires qui adhèrent à votre projet, mode de gouvernance d’entreprise et vision à long terme. Car même si vous êtes majoritaire mais que vos associés se dissocient dans la manière dont vous gérez l’entreprise, ils souhaiteront partir et reprendre leur capital.

Dans ce cas de figure, soit vous avez les moyens de racheter leurs parts et tant mieux sinon vous devrez emprunter pour les rembourser si c’est possible et vous retrouverez avec des échéances à rembourser qui risquent de « plomber » votre cashflow et bilan.

Et si vous ne pouvez pas reprendre leur capital et repoussez la démarche vous vous lèverez chaque matin en y pensant et cela risque d’avoir un impact sur votre capacité à agir et prendre des décisions pour la bonne marche de votre entreprise.

Donc pour ce type d’actionnaire il est important qu’il ne soit pas financièrement gêné par l’investissement dans votre entreprise. C’est un point que vous pouvez verrouiller dans le pacte d’actionnaire qui définit les conditions d’apport de fonds entre l’actionnaire et l’entreprise.

C’est-à-dire que vous pouvez définir une période durant laquelle il ne pourra pas demander le remboursement. En résumé vous l’aurez compris, l’état d’esprit de l’actionnaire est très important.


L’associé qui intervient dans la gestion de l’entreprise au quotidien

  • Avantages


Ce profil d’associé apporte en général des compétences qui contribuent au fonctionnement de l’entreprise et à son développement. De plus, il participe à la constitution du capital et est donc beaucoup plus impliqué et motivé pour que l’entreprise réussisse.

  • Inconvénients


Le fait qu’il apporte une partie du capital même importante n’empêche pas de vous exposer aux mêmes mésaventures que le profil précédent. Et dans ce cas la situation sera encore plus complexe à gérer puisque vous travaillerez au quotidien avec cette personne.

Donc, l’idée n’est pas de savoir qui a tort ou raison mais comment résoudre le problème puisque là vous devrez trouver une solution pour qu’il récupère son capital et trouver quelqu’un avec ses compétences pour le remplacer.

Quelle organisation ?


Organisation des tâches


Alors, vous vous dîtes, c’est bien joli tout ça mais comment je fais au début avec peu de moyens ? Très bonne question.

Évidemment, au début vous serez amenés à tout faire vous-même. La clé résidera à ce moment là dans votre organisation pour répartir les différentes tâches à effectuer

Vous devrez mettre en place une organisation quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle pour gérer ces tâches.

Exemple : organisation hebdomadaire

⦁ Le lundi vous consacrerez votre temps à toute la partie administrative
⦁ Le mardi au commercial ou marketing
⦁ Le mercredi à la production
⦁ Le jeudi aux rendez-vous
⦁ Le vendredi à la préparation de la semaine suivante

Cette organisation peut aussi être réparti en demi-journée ou mensuellement si vous estimez que la partie administrative par exemple peut se faire seulement sur une journée par mois ou si la partie commerciale doit se faire pendant une semaine en continue comme la production.

Exemple : organisation mensuelle
⦁ Semaine 1, vous consacrerez votre temps à toute la partie commerciale et marketing.
⦁ Semaine 2, vous ferez de la production
⦁ Semaine 3, vous irez à vos rendez-vous
⦁ Semaine 4, vous ferez de l’administratif et préparerez le mois suivant

De cette manière vos différents processus ne seront pas bloqués et vous pourrez avancer sur tous les fronts. Bien évidemment vu que vous êtes seul, le démarrage sera plus long mais dans cette configuration il n’y a pas d’autre alternative.

Puis au fur et à mesure que votre activité se développera et que votre chiffre d’affaires le permettra vous pourrez vous dégager de certaines tâches en les déléguant tout en les contrôlant régulièrement et en faisant un point avec l’interlocuteur concerné.


Organigramme par activité


Entreprise individuelle
Si vous êtes seul, l’organigramme sera facile à définir puisque vous serez responsable et en charge de tout
TPE/ PME


Si vous êtres plusieurs, il vous faudra définir un organigramme avec les niveaux d’intervention fonctionnels et opérationnels de chacun surtout si vous n’êtes que deux ou trois même si la répartition des tâches vous semble naturelle car cela permet d’éviter d’une part le chevauchement de tâches identiques par plusieurs personnes et d’autres part les conflits.
⦁ Fonctionnel
Il s’agit de définir qui est responsable dans quel domaine
Exemple : Commercial ou administratif (stratégie, management des équipes)
⦁ Opérationnel
Il s’agit de définir quelles sont les tâches que la personne devra réaliser dans le commercial ou l’administratif sur le terrain.
Exemple : gestion d’un CRM (campagne marketing)
Dans les petites structures cela peut être les mêmes personnes qui gèrent l’aspect fonctionnel et opérationnel d’une activité.


Organigramme par projet


PME (10 à 249 salariés)
Dans ce cas votre entreprise a atteint le nombre de salariés qui vous permettra de mettre en place une organisation en mode « projet ». C’est-à-dire que vous pourrez constituer des équipes qui travailleront sur un produit ou un service en gérant l’ensemble du processus de la conception à la commercialisation. Il faudra donc décliner l’organigramme par équipe ou groupe de travail.

Quelle(s) formation(s) ?


La notion de formation concerne autant les autodidactes que les diplômés. Les autodidactes ont souvent une envie et capacité à apprendre très importante pour maitriser leur sujet et avec un niveau de créativité très élevé.

Les diplômés ont normalement appris à structurer leur travail et donc acquis une méthodologie pour se former et pour maitriser un sujet différent de ce pour quoi ils ont été formés.


Dans les deux cas, la formation reste un incontournable pour maitriser un sujet plus vite et gagner du temps en apprenant ce que l’on ne maitrise pas forcément même si la pratique contribue à réellement acquérir les compétences (savoir que l’on applique).


Cependant, la formation demande du temps et de l’argent et c’est pour cette raison qu’il faut la considérer comme un investissement (et non comme une charge) à intégrer dans son planning comme faisant partie intégrante de l’activité de l’entreprise.

Beaucoup d’entreprise voient la formation comme une charge et ont du mal à dégager du temps pour former les personnels au détriment de la production. C’est comme si un automobiliste ne s’arrêtait pas à la station d’essence pour refaire le plein parce qu’il considère que c’est une perte de temps et que cela a un coût. Je vous laisse deviner la suite…

 

 

Quel marché ?


Le marché sera une des clés de votre réussite tout simplement parce qu’il vous fournira les clients qui pourront payer vos produits ou services.

Ce chapitre rejoint un peu le chapitre « Quoi faire ? » avec le cas de reprise d’une entreprise dans laquelle vous travaillez déjà et l’autre cas où vous créez la société.

Dans le premier cas la société est installée dans son marché avec des clients donc pas de problème si ce n’est qu’il faudra consolider la relation client que pouvait avoir votre prédécesseur car avec le temps les clients se lient avec le représentant de l’entreprise sauf si l’activité a le monopole dans son domaine.


Dans le deuxième cas, la création de l’entreprise, il faudra s’assurer que le marché a un réel potentiel et surtout qu’il n’est pas verrouillé par la profession ou les concurrents.

C’est difficile à déceler, il est donc important d’en identifier les réseaux et les pratiques commerciales. Il ne faut pas hésiter à faire une étude de marché au préalable auprès de quelques clients voire auprès des organisations professionnelles.


En résumé, s’assurer que le marché est libre et qu’aucun obstacle formel ou informel vous bloquera dans votre projet.

Quels moyens ?


En fonction de l’activité envisagée, il est fondamental d’identifier les réels besoins financiers, en temps et en ressources humaines (salariés, prestataires, partenaires) qui seront nécessaires pour le lancement de votre activité.

 

Financiers


Lorsque l’on démarre une activité on a tendance à minimiser les besoins financiers notamment pour la partie commerciale et marketing alors que c’est vraiment ce budget qui vous permettra de semer auprès de vos prospects.

Les banques ont tendance à intégrer facilement tous ce qui participe à l’installation de l’entreprise, locaux, mobilier et véhicule par exemple mais elles ne financent pas les budgets pour la partie commerciale et marketing.

Votre seule solution pour cette partie reste l’apport en numéraire personnel ou par des investisseurs. C’est donc à partir de vos besoins financiers que vous pourrez déterminer aussi le statut de votre entreprise (voir chapitre « Quel type d’entreprise ? »).


Par exemple si vous envisagez à terme dans votre projet de recruter du personnel ou d’intégrer des associés, ne commencez pas votre activité avec le statut d’entreprise individuelle car vous serez obligé de le modifier avec des coûts supplémentaires et du temps perdu pour ça au final.


J’insiste bien sur le fait que le budget pour la partie commerciale et marketing est très important et doit impérativement être prévue dans vos besoins financiers au démarrage.


Le commercial demande certainement des déplacements avec des coûts de transport, d’hébergement et de restauration qui représentent un budget conséquent. Si vous n’avez pas le fond de roulement pour ça au départ, oubliez le développement de votre entreprise.


Temps (timing)


Le temps est également un facteur important qui contribue fortement à la réussite d’un projet d’entreprise. Pour être plus précis, j’utiliserai le terme de « Timing » qui est plus efficient et adapté. En clair, il faudra mettre en place un planning de tout ce que vous avez à faire dans les six ou douze prochains mois ou plus selon votre visibilité.

Il est à préciser que même s’il est nécessaire de s’organiser pour éviter les problèmes il est également important de garder une certaine souplesse et de ne pas hésiter à modifier celle-ci si des impératifs demandent des ajustements.

En effet, la rigidité peut devenir un facteur bloquant et à contre-emploi du bon sens exigé par un changement de situation.


Ressources humaines


Si vous êtes seul, la question ne se pose pas bien que la notion de ressources humaines intègre les partenaires prestataires. Vous n’aurez pas de lien hiérarchique mais sans eux et leurs ressources (compétences, services) vous ne pourrez rien faire. Il est primordial de les identifier et de s’assurer de leur disponibilité avant de commencer votre activité.


Si vous démarrer l’activité à plusieurs vous serez déjà pourvu de ressources de part les compétences des uns et des autres. Si vous envisagez d’agrandir l’équipe, il y a plusieurs cas de figure, soit vous avez besoin d’un expert et là le besoin est clairement identifiable il vous faudra tout simplement trouver la bonne personne sauf que.

Dans une petite structure, la polyvalence s’impose souvent aux personnels. Il vous faudra donc trouver un profil qui s’inscrit dans cette logique sinon vous aurez un expert qui ne veut pas assumer les tâches connexes à son rôle et vous devrez vous les partager ce qui souvent abouti à des conflits et pour cause.

Soit, vous aurez besoin d’une personne capable d’assumer des tâches dont chacun d’entre vous veut se défaire pour se concentrer sur leur domaine d’expertise et dans ce cas vous devrez recruter une personne avec des compétences certes mais surtout là aussi avec une logique de poly-compétences ou polyvalence à assumer.

Quel Management ?


Quand on parle de management on a souvent l’impression que l’on parle de la fameuse « World compagnie ». Il n’en n’est rien. On a souvent une mauvaise idée et des à priori sur le « Management ». Pour plusieurs raisons qui sont souvent justifiées.

Certaines entreprises ont tendance à l’utiliser pour imposer et non faire adhérer. Du coup, le management est perçu comme quelque chose de répressif pour obliger des changements ou habitudes de fonctionnement. C’est vrai. Pourtant, les changements de fonctionnement et d’habitudes font partie de la vie de l’entreprise et sont parfois nécessaires. C’est plus dans la manière dont s’est expliqué aux salariés que vient cette réticence et défiance.


Là aussi, même si vous êtes seul il est intéressant d’avoir quelques notions de management ne serait-ce que pour savoir comment gérer vos relations avec vos partenaires, fournisseurs et clients.


Si vous êtes plusieurs cela deviendra une évidence de connaitre les règles de base des différents types de management. Oui, il existe différentes méthodes de management et il est important d’en connaitre les règles au risque d’être hors sujet dans ses relations avec les autres en fonction de votre et leur statut.

Quelques exemples : le management directif, participatif, de confiance, de délégation, d’équipe, etc…
Ce n’est pas la matière qui manque sur le sujet !

Sans préconiser absolument sa méthode qui n’est peut-être pas applicable partout, je préconise la lecture du livre de « Vineet Nayar », le père du management par la confiance

Ce qui est intéressant c’est la démarche qu’il a utilisé pour faire appliquer sa vision du management dans son entreprise.

Vous avez aussi une vidéo très intéressante de la présentation de son concept qui pour le coup révolutionne toutes les approches managériales existantes jusqu’à présent. Paradoxalement, j’ai découvert son livre après trois voyages en Inde où j’ai été interpellé par leur capacité à être efficient et zen dans des environnements plus que complexes.

Quelle Banque ?


Il n’y a pas de règles pour le choix de la banque. Cela dépend de la zone géographique ou vous êtes installé, de votre activité et surtout de votre interlocuteur.


Une même enseigne pourra vous refuser l’ouverture d’un compte sur une de ses agences et vous accepter sur une autre agence, cela dépendra de la volonté de votre interlocuteur à vous accompagner dans votre projet.

N’hésitez pas à en voir plusieurs en présentant votre projet sans faire le vainqueur mais sans fausse modestie non plus. Il est important que votre projet soit bien ficelé sur l’aspect financier surtout, normal et que vous maitrisiez votre sujet parfaitement.


Pour la négociation des frais et autres avantages cela dépendra de votre position financière. SI vous n’avez pas de fonds à déposer la négociation sera plus compliquée en revanche si vous déposez des fonds votre pouvoir de négociation sera plus percutant et vous obtiendrez plus facilement ce que vous demandez.

Dans ce deuxième cas n’hésitez pas à négocier un découvert honorable avec des frais raisonnables non pas pour l’utiliser systématiquement mais plutôt pour faire face à des creux de trésorerie qui peuvent survenir si des paiements de clients tardent à venir.

Développement ?


Sans faire de plans sur la comète il est quand même important de vous poser les bonnes questions dès que votre activité aura démarré, à savoir se projeter sur les changements que pourraient entrainer un développement significatif dans votre société.


Si vous êtes face à un développement effectif et que les questions de recrutement et de réorganisation se posent il faudra réagir très vite et s’assurer que le « business model » que vous avez mis en place au départ est toujours adapté pour faire face à votre développement.
Référez-vous aux chapitres précédents.

 

 

Vous avez aimé cet article, n’hésitez pas à laisser un commentaire

 

Partager l'article

Je suis Luc Levasseur. Depuis 20 ans dans la formation et dans le e-learning depuis 2013. A travers ce blog je vous explique comment je suis passé de formateur présentiel à formateur en ligne

Voir tous les articles de →

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

error: Content is protected !!